jeudi 25 octobre 2007

MIKE HORN au Festival Exploits du Monde à Bruxelles le 16 novembre





"L’impossible existe seulement jusqu’à ce que l’on trouve une manière de le rendre possible"





C'est peut-être le plus grand de tous les aventuriers de cette génération ! Il sera tout à fait exceptionnellement à Bruxelles le vendredi 16 novembre 2007 au Festival Exploits du Monde lancé par Exploration du Monde.


Une soirée qui sera très vite "sold out" ... réservez vos places immédiatement !

Infos&réservations : 02.648.38.10
http://www.explorationdumonde.be/exploits/index.htm

bureau@explorationdumonde.be

Pour infos sur Mike Horn: http://www.mikehorn.com/

Festival EXPLOITS DU MONDE

Barjos, fêlés, tordus, oufs, malades, cinglés, tapés, siphonnés, pétés, fondus, jetés, fadas, maboules, atteints, frappés, détraqués,…
mais ils sont pas nets ces gars !....
Exploration du Monde prend un coup de jeunes ...
Du 15 au 17 novembre 2007, le Festival Exploits du Monde présentera des aventuriers et sportifs de l’extrême, du passé et d’aujourd’hui, à travers une sélection de films, de rencontres et d’activités, sur le site de l’U.L.B.
Ce n’est pas seulement un Festival de jeunes fous réservé aux jeunes. Par delà l’aventure, c’est un Festival de réussites en tous genres, un Festival de sentiments et d’émotions fortes.

vendredi 12 octobre 2007

Al Gore, aujourd'hui Prix Nobel de la Paix ... et Exploration du Monde c'était il y a un an !



Il y a un an exactement, Exploration du Monde avait vu juste, en organisant avec le distributeur UIP (devenu Universal) l'avant-première du film "Une Vérité qui Dérange" en présence de Al Gore, au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles.


A la première vision (privée) de ce film, alors qu'il n'était pas encore le film-événement planètaire, les trois patrons d'Exploration du Monde savaient que ce film allait provoquer un veritable bouleversement des esprits à tous les niveaux de la société.
Lors de la soirée-événement au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, devant un parterre d'hommes d'Etats belges et européens, d'hommes d'affaires et d'un public curieux, Al Gore s'est exprimé durant une demi-heure. Ses mots, justes, qui frappèrent droit au but, ont fait leur chemin depuis, jusqu'aux plus hautes instances politiques belges, européennes et internationales.

C'est le Prix Nobel le plus prestigieux, celui de la Paix, que Al Gore a reçu,conjointement au GIEC, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, qui travaille sous l'égide de l'Onu.
Le comité Nobel explique que le prix leur est décerné pour "leurs efforts de collecte et de diffusion des connaissances sur les changements climatiques provoqués par l'homme et pour avoir posé les fondements pour les mesures nécessaires à la lutte contre ces changements". "Al Gore est probablement l'individu qui a fait le plus pour que l'on comprenne mieux à travers le monde les mesures qui doivent être adoptées", ajoute l'institution. Le Nobel -un diplôme, une médaille d'or et un chèque de 10 millions de couronnes suédoises (1,08 million d'euros)- sera remis à Oslo le 10 décembre.

Al Gore, qui hésite toujours à se lancer dans la course à la Maison-Blanche pour 2008, est au coeur du documentaire "Une vérité qui dérange", basé sur son livre et la conférence qu'il a donnée aux quatre coins du monde sur l'impact du réchauffement climatique. Primé aux Oscars, le film de 96 minutes a contribué à vulgariser un sujet complexe et à sensibiliser l'opinion publique à la menace climatique. C'est après son échec à la présidentielle américaine de 2000 que l'ancien vice-président de Bill Clinton s'était lancé dans la défense de l'environnement, qu'il considère désormais comme le but de sa vie. Il avait notamment assisté impuissant au refus de George W. Bush de ratifier le protocole de Kyoto, qu'il avait lui-même négocié pour les Etats-Unis.
Dans un communiqué, Al Gore se dit "très honoré" de s'être vu attribué le prix. "Cette récompense a encore plus de signification car j'ai l'honneur de la partager avec le GIEC, l'organisme scientifique le plus important au monde, qui se consacre à faire mieux comprendre la crise climatique et dont les membres travaillent infatigablement et de manière désintéressée depuis de nombreuses années", ajoute-t-il. Il précise également qu'il va verser 100% du montant de son prix à l'ACP, une organisation bipartisane qui s'est fixé comme objectif de réveiller les consciences à travers le monde face aux défis posés par le changement climatique. De son côté, réalisant un véritable travail de fourmi, le GIEC expertise et compile les recherches effectuées par des milliers de scientifiques à travers le monde. Ses rapports, résultats de délicates tractations entre délégations des différents Etats, fournissent un solide socle de connaissances aux décideurs politiques. Parmi ses principales conclusions, le GIEC prédit une hausse de 1,8 à 4°C de la température moyenne planétaire d'ici 2100, un réchauffement dont l'origine "très probable" est liée à l'activité humaine. Rajendra Pachauri, le président du GIEC, estime que la décision du comité Nobel devrait permettre de créer un "sentiment d'urgence" face au réchauffement climatique. La distinction d'Al Gore et du GIEC lance un message fort à la communauté internationale à quelques semaines de la conférence de Bali, du 3 au 14 décembre. Celle-ci doit tracer la feuille de route pour de nouveaux engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre au-delà de 2012, après l'expiration de la première phase du protocole de Kyoto.

En s'attaquant à la question climatique, le comité Nobel étend une nouvelle fois le champ couvert par le prix de la paix au-delà de la seule prévention et résolution des conflits, ou des efforts de désarmement. Au fil des ans, le Nobel s'est ainsi élargi au travail humanitaire et à la défense des droits de l'Homme, et plus récemment, à la protection de l'environnement, avec l'écologiste kényane Wangari Maathai (2004), et à la lutte contre la pauvreté, avec le pionnier bangladais du micro-crédit Muhammad Yunus et sa Grameen Bank, primés l'an passé.


(d'après LCI)